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Domaine Du Jour Suivant

30 juin 2009

Petites histoires entre anims -atelier roman-photo

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19 décembre 2008

Atelier philo : des outils pour philosopher, échanger, débattre avec sens - 27 et 28 novembre 2008

atelierphilo

Sensibilisation du premier jour, par Patricia Azerad et Oscar Brenifier...

Comment aborder la philosophie alors que souvent celle-ci a une image difficile ou scolaire. Malgré tout il y a un intérêt récurrent depuis une quinzaine d'année et des expériences d'ateliers, cafés philo aussi bien pour les adultes, jeunes ou enfants.

Mais comment mener une activité sans être spécialiste alors que la philosophie est souvent affaire de spécialistes!Comment relier des concepts au concret, passer du concret à l'abstrait et inversement, comment aider?

En prenant son temps, en se posant, en s'étonnant ...! en présentant l'atelier philo aux enfants comme un jeu, "le jeu du réfléchir". Mais qu'est-ce que ça veut dire? Penser, faire des trucs dans sa tête, chercher...

Les trois règles de base:

- donner son idée et dire le pourquoi

- qui est d'accord? Qui n'est pas d'accord?

- confronter les idées

"Un seul ballon et chacun ne vient pas pour jouer qu'avec son voisin dans l'atelier philo"

Le postulat

Confiance que tout être humain peu traisonner en dépit des apparences

On se met en situation d'admettre qu'un sens peut basculer. Il y a un petit côté casino, rien ne va plus, dans le fait de jouer avec les idées.

L'objectif est de développer sa capacité à raisonner, à prendre en charge donc sa vie.Mais c en'est pas une thérapie! La philosophie n'a pas pour objectif de donner une solution mais de mettre en écoute, d'être capable d'entrer dasn un schéma différent, à l'accepter.

L'atelier philo n'est pas un lieu pour s'exprimer, il en existe beaucoup, mais un lieu pour penser. Ici on ne "rebondit" pas, on se pose, on suspend son jugement, on travaille su rl'être.

Une définition de la philosophie = savoir ce qu'on pense = se réconcilier avec sa parole. Ne pas se défendre, se justifier mais comprendre. C'est un travail collectil (pas de "pour moi") ,par lequel on tend à s'échapper de son quant à soi, à grandir. Apprendre à être présent à autrui.

L'atelier est un corps-à-corps. Répondre à l'autre c'est s'arracher à soi-même.

Une structuration de compétences....

1) Approfondir; résumer, compacter, analyser, donner un exemple, identifier les présupposés

2) Problématiser; voir les limites d'une idée, thèse/anti-thèse/synthèse

3) Conceptualiser; fabriquer des mots-clés sur lesquels on est prêts à s'engager, élaguer

... et des attitudes

1) Se poser

2) S'étonner

3) Etre authentique; dis ce que tu as à dire. "Les limites de ton monde, c'est ton langae"

4) Se confronter

Penser, c'est être là, avec les autres.

10 novembre 2008

Module B - y a pas que le slam

Module B - y a pas que le slam
Vidéo envoyée par sophielartigue

petit passage à l'oral!

8 juin 2008

Flipbook

Flipbook
Vidéo envoyée par sophielartigue

formation "un livre, un pouce, une animation" 22 mai 2008 au château d'Ecouen avec Gregory Jarry (éditions flblb). Une tentative...de mouvement!

6 juin 2008

Le petit cochon qui ...

Le petit cochon qui n’arrivait pas à s’endormir dans le noir

Arthur Geisert – Autrement –       2007

Une contrainte ; des parents qui veulent que leur petit cochon éteigne la lumière à 20h. Un problème à résoudre pour ne pas avoir à s’endormir dans le noir. Une solution inventive, l’interrupteur !

La couverture de l’album est noire (typo du titre comprise) avec un carré en couleurs où se dessine un petit cochon décidé à en découdre. Elle précède la double page jaune rayonnante qui fermera également l’album. Ce contraste est vif alors que la gravure fera ensuite varier le plus souvent imperceptiblement les ambiances noires ou éclairées.

Le texte est présent a minima, uniquement sur la première page de l’album, dans le même esprit qu’un intertitre de film muet. Le petit cochon s’adresse directement à nous pour nous communiquer les données de la situation. Au-dessus de ce texte, la fenêtre de la chambre du petit cochon depuis l’extérieur, celui-ci affiche des schémas au mur. Le même cadrage est retenu pour la vignette de fin d’album, lumière éteinte et cochon paisiblement endormi.

Entre ces deux pages, aucunes phrases (textes). L’image prend toute la place, comme illustration de l’invention annoncée. Son traitement renvoie aux planches illustrées d’anciens dictionnaires ou encore aux procédés des manuels techniques, avec par exemple cette vue écorchée, qui permet de voir l’intérieur de la maison familiale, à tous les étages. L’utilisation de la gravure, technique traditionnelle d’Arthur Geisert renforce l’aspect notice d’emploi.

Lire l’album prend alors la forme d’un jeu d’observations. Les détails fourmillent dans le dessin et qui sait où cela va nous mener. On circule du toit à la cave, de l’intérieur à l’extérieur de la maison. Pour comprendre comment ça marche, il faut suivre pas à pas le mécanisme dans lequel nous entraîne le geste déclencheur du petit cochon quand il tire sur une corde où se balade une pancarte « interrupteur ».

Du coup de ciseau fatal au premier domino qui tombe, jusqu’au sable de sac qui se perce, la machine à éteindre est en route. La visualisation, étape par étape,  raconte l’histoire. Le lecteur est entraîné dans une mécanique visiblement complexe. Puis on revient au petit cochon qui imagine le fonctionnement en cours, toujours éveillé, puis en rêves. Enfin il dort. L’auteur récapitule alors sur une double page le fonctionnement du dispositif qui permet d’éteindre la lumière, en numérotant et décomposant toutes les étapes qui laisse le temps au petit cochon de s’endormir avant. Lumineux !!!

L’album met en avant l’observation et le rôle très actif du lecteur dans la lecture des images qui peuvent se suffire pour comprendre l’histoire.

Interrupteur, sable, sont les deux seuls mots présents tout au long de ces gravures. Prenons les pour déterminants de l’histoire de cet enfant qui a résolu lui-même son problème (notons que pendant tout ce temps, les parents confiants, sont affairés ailleurs). Il a inventé un dispositif mécanique de diversion lui permettant d’autoriser lui-même le passage du temps jusqu’à son sommeil, grâce à son interrupteur, et qui réinvente le rituel du marchand de sable.

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27 mai 2008

Sequence hlm porte 23052008

10 février 2008

Repas poésie Les articulations du repas

Repas poésie

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Les articulations du repas (entrée/plat – plat/dessert) donnent lieu à des jeux poétiques.

Durée :         1h

Matériel : nappes en papier, gobelets, bouteilles, papiers, colle, feutres et ...dînette !

Préparation :

mettre en place la table avec différents supports possibles d'écriture ; nappe blanche en papier, étiquettes collées sur les gobelets ou bouteilles, serviettes en papier)

mettre autour de chaque assiette 1 couteau, 1 fourchette et ... 1 feutre

s'amuser à faire et disposer des objets impossibles (bouteilles impossibles à ouvrir par exemple, placer d'autres objets complètements surprenants sur la table, d'où une table différente de celle à laquelle sont habitués les enfants.

Déroulement :

Commencer par des jeux visuels (cf. premier module – H -)

Reprendre au centre du repas ce qui aurait pu être fait comme travail oral lors de séances précédentes : par exemple des vire langues du type « Didon dîna dit-on du dos dodu d'un dindon » avec pour consigne de fabriquer des vire langues à partir de la première lettre de son prénom.

Prévoir un temps de lecture de ce qui a été écrit et éventuellement 3 ou 4 poèmes

3 février 2008

Y a pas que le slam!_Memo 2

radio_001Radio poésie :

Particulièrement adapté en mini séjours, pendant les vacances, pour des rencontres inter-structures ou pour conjurer les après-midi pluvieuses.

A prévoir de préférence avant le repas de midi ou le goûter pour permettre au groupe de commenter ensemble le jeu une fois fini.

Jeux et fil rouge dans un état d'esprit chaleureux, surtout sans aucune récompense si ce n'est le plaisir qu'on ne peut trouver qu'ensemble (l'anti-maillon faible !)

Aucune questions/réponses n'est en référence au milieu familial

Durée :         1h 10 (chaque unité « jeu+fil rouge » ne doit pas excéder 10 mn)

Moyens humains : 5 animateurs

Participants : 50 enfants (6-10 ans) réparties en 5 équipes

Matériel : lecteur audio (un écran éventuellement – tv ou ordinateur), un tableau pour afficher les résultats avec à la verticale le nom de chaque équipe et à l'horizontale chaque jeu numéroté, 5 tables, papiers, crayons, cartons vrai/faux

Préparation : 4 à 5 heures (idéalement la veille pour le lendemain)

décorer une grande salle en entretenant le mystère (portes fermées à clés, fenêtres obscurcies) ; utiliser des éléments de cette décoration à exploiter dans les questions

prévoir une salle annexe à proximité

chaque animateur à une fonction définie ; l'un se consacre à l'organisation technique, l'autre à l'animation du fil rouge, les trois autres à l'animation des jeux

Déroulement :

Organiser les équipes en mélangeant les âges et en désignant le plus jeune comme capitaine pour restituer les réponses à chaque jeu. Ce choix rend obligatoire l'activité de communication dans le groupe, en évitant de se confronter à la loi du plus fort

Faire entrer les enfants dans la salle en lançant un générique de bienvenue !

Un animateur explique les règles du jeu (qui auront été déjà évoquées auparavant), consignes, système de pénalités (par exemple la restitution n'est pas faite par le capitaine)

L'animateur fil rouge en explique le principe

    Etape 1 pour tous les groupes: le jeu VRAI/FAUX : doit être obligatoirement facile. Toutes les équipes peuvent marquer un maximum de points. Les questions font référence à des champs divers ; slam, poésie, tag, hip-hop.

    Etape 2 : le jeu : le poster caché. Le fil rouge : prévoir un jeu de rythme, un chant mémoire (cf. extrait vidéo). Montrer trois fois et donner trois chances au groupe de reproduire à l'identique

    Etape 3: le jeu : chaque équipe doit écrire un quatrain rythmé, compté. Imaginer un système de  point (4 vers = 1 point, 3 = ½ point ..., 4 vers avec rime = 2 points ... Le fil rouge : reconnaître une voix de chanteur déformée) ou autre exemple de fil rouge : prendre un texte inconnu. Retirer 5 mots. Chaque mot retrouvé permet de gagner des points, à faire par écrit.

1 février 2008

Y a pas que le slam!_Présentation

5 modules de formation pour les animateurs des accueils de loisirs et les bibliothécaires

Animés par Gérard Noiret, écrivain                                           LAST_POETS_Bin_mod_A

En partenariat avec Cible 95

A - De visu 10 janvier 2008

B - Petit passage à l’oral  11 janvier 2008

C - Petit passage à l’oral – bis  24 janvier 2008

D - Place à l’inconscient et au hasard   25 janvier 2008

E – Exercices pratiques 1er février 2008

Gérard Noiret ne veut pas parler de poésie.                                                                                    

Plutôt présenter différentes manières d'utiliser le langage, pas le beau langage mais celui qui prend en compte les gens comme ils sont, avec leur histoire et leurs erreurs. Allons regarder chez les autres, de quel côté l'imaginaire de l'autre, enfant ou adulte, le pousse à aller. L'atelier (d'écriture, de poésie) est le lieu où l'on apprend des choses pour repérer les qualités des autres, ensemble.

Et si on avait un carnet!                                                                                                               

Pas un cahier. Pas une feuille volante dont la vocation est bien de se perdre. On y note des choses au passage, sans se poser la question de savoir si c'est bien. C'est prendre l'habitude d'aller dans tous les sens et introduire le hasard et les différences.

Le langage que nous employons a des forces que nous n'utilisons pas toujours; visuelle, orale, inconsciente ...


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